mais il n'y a rien de plus difficile si l'on conçoit le jardin, non pas comme un alignement de bulbes inintéressants, mais bien comme un écrin végétal qui doit révéler la structure, accompagner l'architecture, apporter un supplément d'âme à des constructions parfois austères ...
et la chose se corse un peu plus si le sujet de réflexion doit se porter sur un espace public, par nature soumis à rude épreuve, non pas celle du temps mais du piétinement ...
la preuve en image avec l'aide de David Hocker qui vient de remporter le prix de American Society of Landscape Architects 2010 (www.hockerdesign.com) :
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